Royaume de Dieu
24/11/24 09:22
Le royaume de Dieu a deux dimensions.
D'une part, il a une dimension eschatologique. Le royaume de Dieu n'est pas entièrement de ce monde, et il finira par triompher de toutes les puissances et de tous les royaumes terrestres. Cela nous appelle à vivre dans l'attente de sa pleine réalisation.
D'autre part, il a une dimension terrestre. Nous sommes appelés à être les témoins du royaume de Dieu dans notre monde. Cela signifie que nous devons vivre en reflétant les valeurs et les principes du royaume. Cela demande une vie d'amour, de justice et de vérité. Il appelle également à un engagement actif dans le monde qui nous entoure, à travailler pour la justice et la paix.
Donc, le royaume nous appelle concrètement à lutter pour la justice sociale et le service dans notre vie quotidienne, tant au niveau individuel que sociétal. Il nous appelle à nous engager auprès des pauvres, des malades, des opprimés et de ceux qui souffrent d'injustice.
En outre, le royaume de Dieu n'est pas seulement une affaire individuelle, mais une réalité collective qui nous appelle à l'unité et à la solidarité. Cela devrait déjà être visible dans l'Église, dans la manière où nous emportons les uns à l’égard des autres. D'une part, le royaume de Dieu inspire le processus synodal et, d'autre part, ce processus est une expression du royaume.
L'un des principaux objectifs du processus synodal est de promouvoir la communauté au sein de l'Église. Cela signifie que tous les membres de l'Église, indépendamment de leur position ou de leur rôle, sont invités à participer aux délibérations et à la prise de décision.
Un autre aspect important du processus synodal est l'écoute. Cela signifie que l'Église doit écouter la voix du Saint-Esprit, les Écritures, ainsi que les expériences et les points de vue de tous les croyants.
La prise de décision conjointe est la troisième caractéristique fondamentale du processus synodal. Cela signifie que les décisions ne sont pas prises unilatéralement par les hiérarchies ecclésiastiques, mais en collaboration avec l'ensemble de la communauté de foi. La prise de décision conjointe favorise la transparence, la responsabilité et l'inclusion au sein de l'Église.
Eugène
D'une part, il a une dimension eschatologique. Le royaume de Dieu n'est pas entièrement de ce monde, et il finira par triompher de toutes les puissances et de tous les royaumes terrestres. Cela nous appelle à vivre dans l'attente de sa pleine réalisation.
D'autre part, il a une dimension terrestre. Nous sommes appelés à être les témoins du royaume de Dieu dans notre monde. Cela signifie que nous devons vivre en reflétant les valeurs et les principes du royaume. Cela demande une vie d'amour, de justice et de vérité. Il appelle également à un engagement actif dans le monde qui nous entoure, à travailler pour la justice et la paix.
Donc, le royaume nous appelle concrètement à lutter pour la justice sociale et le service dans notre vie quotidienne, tant au niveau individuel que sociétal. Il nous appelle à nous engager auprès des pauvres, des malades, des opprimés et de ceux qui souffrent d'injustice.
En outre, le royaume de Dieu n'est pas seulement une affaire individuelle, mais une réalité collective qui nous appelle à l'unité et à la solidarité. Cela devrait déjà être visible dans l'Église, dans la manière où nous emportons les uns à l’égard des autres. D'une part, le royaume de Dieu inspire le processus synodal et, d'autre part, ce processus est une expression du royaume.
L'un des principaux objectifs du processus synodal est de promouvoir la communauté au sein de l'Église. Cela signifie que tous les membres de l'Église, indépendamment de leur position ou de leur rôle, sont invités à participer aux délibérations et à la prise de décision.
Un autre aspect important du processus synodal est l'écoute. Cela signifie que l'Église doit écouter la voix du Saint-Esprit, les Écritures, ainsi que les expériences et les points de vue de tous les croyants.
La prise de décision conjointe est la troisième caractéristique fondamentale du processus synodal. Cela signifie que les décisions ne sont pas prises unilatéralement par les hiérarchies ecclésiastiques, mais en collaboration avec l'ensemble de la communauté de foi. La prise de décision conjointe favorise la transparence, la responsabilité et l'inclusion au sein de l'Église.
Eugène