On est très bien là où l’amour divin nous met, mais il faut y être comme Dieu le veut. Allez bien à Notre Seigneur par le cœur et par l’abandon ; c’est la voie royale de l’Eucharistie, plus courte, plus douce, plus noble que toutes les autres. (CO 1013)
Tenez votre âme dans l’action de grâces habituelle ; c’est l’exercice le plus agréable à Notre Seigneur, et le plus doux au cœur. Faites action de grâces de tout, car tout est grâce, tout peut être une louange à Dieu. (CO 1049)
Tournez toujours sur le pivot divin de la divine volonté du moment. N’allez pas au-devant des vents du ciel, attendez-les, et quand ils arrivent, larguez vos voiles aux vents favorables, c’est-à-dire soyez toujours prête à faire la volonté de Dieu du moment, et prête à tout laisser quand Dieu le veut. (CO 1085)
Dieu est souverainement bon et sage, il faut adorer ses desseins cachés quand notre vue si courte ne voit que des difficultés ou des peines. (CO 1731)
Nous prenons toute la pensée eucharistique, tout le Saint-Sacrement. (CO 690)
C'est la célébration, l'adoration, la mission et l'apostolat. « Toute vie chrétienne, si elle veut porter du fruit, doit partir de Jésus-Christ et y aboutir, s'alimenter et se centrer sur l'Eucharistie. » (PG 241,5)
Je ferais bien ma méditation, ma visite, direz-vous, mais je ne puis venir à l'église. Qu'est-ce que cela fait ? Adorez d'où vous êtes : vous ferez une adoration véritable, non pas culte qui demande la présence, mais d'amour. (PP 14,2)
Un saint est comme une constellation qui lui pour tous et communique à tous sa douce influence. Un saint appartient plutôt à ses frères, à l'Eglise qu'à lui-même. Il est une grâce extraordinaire du ciel et la gloire des siens. (PA 11,1)